Une explosion pas comme les autres
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Une explosion pas comme les autres
UNE explosion suivie d’une torche », voilà ce qu’a confié l’un des trois brûlés graves, avant son évacuation en hélicoptère vers l’hôpital Cochin, à Paris. Hier après-midi, à 16 h 52, selon la première alerte interne, une bonbonne d’oxygène explose dans une chambre du service neurologie, au quatrième étage de l’hôpital Laennec, à Creil.
L’accident s’est déroulé alors que le docteur Gérard Meyer, chef du pôle urgence-réanimation, et un infirmier étaient en train de réanimer un patient de 75 ans. C’est à l’ouverture de « l’obus » que la déflagration se serait produite.
« La chambre est dévastée par l’incendie »
Les trois victimes ont été brûlées aux mains et au visage. Vers 18 heures, les deux soignants gravement touchés ont été transportés par hélicoptère à Paris. Le malade, brûlé au 3 e degré, est mort dans la soirée. Deux autres personnes, qui étaient plus en retrait, ont également été blessées. Une cellule psychologique a été activée.
« La chambre est dévastée par l’incendie », confiait hier soir, Michel Logak, chef du service neurologie, encore sous l’émotion. Arrivé vingt minutes après, il cherchait à comprendre les circonstances du drame. « Je ne suis pas sûr qu’il y ait eu une explosion. Tous les témoins décrivent une longue flamme, très soudaine et très violente », ajoutait-il. Aucune vitre n’a d’ailleurs été brisée dans le choc. En attente d’éléments d’enquête probants, une alerte nationale a été lancée hier soir sur ce type d’équipement médical (lire l’encadré). Le parquet de Senlis a ouvert une information judiciaire pour déterminer les causes de cet accident. « Nous avons missionné un laboratoire spécialisé pour réaliser des expertises sur la bonbonne d’oxygène qui a été placée sous scellés », précisait Chantal Berger, procureur de la République à Senlis, qui s’est rendue sur les lieux, tout comme le préfet de l’Oise, Philippe Grégoire.
La cellule de crise a choisi de fermer l’ensemble du service neurologie jusqu’à nouvel ordre. Les dix-neuf patients qui occupaient les autres chambres ont été transférés sur d’autres unités de l’hôpital de Creil ou vers d’autres établissements. Cette décision va poser dès aujourd’hui des problèmes d’organisation dans l’accueil des nouveaux malades, et c’est désormais le Samu qui redirige les patients vers les hôpitaux de la région.
L’accident s’est déroulé alors que le docteur Gérard Meyer, chef du pôle urgence-réanimation, et un infirmier étaient en train de réanimer un patient de 75 ans. C’est à l’ouverture de « l’obus » que la déflagration se serait produite.
« La chambre est dévastée par l’incendie »
Les trois victimes ont été brûlées aux mains et au visage. Vers 18 heures, les deux soignants gravement touchés ont été transportés par hélicoptère à Paris. Le malade, brûlé au 3 e degré, est mort dans la soirée. Deux autres personnes, qui étaient plus en retrait, ont également été blessées. Une cellule psychologique a été activée.
« La chambre est dévastée par l’incendie », confiait hier soir, Michel Logak, chef du service neurologie, encore sous l’émotion. Arrivé vingt minutes après, il cherchait à comprendre les circonstances du drame. « Je ne suis pas sûr qu’il y ait eu une explosion. Tous les témoins décrivent une longue flamme, très soudaine et très violente », ajoutait-il. Aucune vitre n’a d’ailleurs été brisée dans le choc. En attente d’éléments d’enquête probants, une alerte nationale a été lancée hier soir sur ce type d’équipement médical (lire l’encadré). Le parquet de Senlis a ouvert une information judiciaire pour déterminer les causes de cet accident. « Nous avons missionné un laboratoire spécialisé pour réaliser des expertises sur la bonbonne d’oxygène qui a été placée sous scellés », précisait Chantal Berger, procureur de la République à Senlis, qui s’est rendue sur les lieux, tout comme le préfet de l’Oise, Philippe Grégoire.
La cellule de crise a choisi de fermer l’ensemble du service neurologie jusqu’à nouvel ordre. Les dix-neuf patients qui occupaient les autres chambres ont été transférés sur d’autres unités de l’hôpital de Creil ou vers d’autres établissements. Cette décision va poser dès aujourd’hui des problèmes d’organisation dans l’accueil des nouveaux malades, et c’est désormais le Samu qui redirige les patients vers les hôpitaux de la région.
Re: Une explosion pas comme les autres
c'est un peu bizarre elle me rappel un incident qui c'est deroule il ya des annees on l'a echappe belle cette fois on a eu vraimùent de la chance
El Niño- Admin
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Age : 56
Date d'inscription : 03/02/2008
Re: Une explosion pas comme les autres
ok mais attend un peu j'ai kelkechose a faire avant je vous raconterais juste apres
El Niño- Admin
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Age : 56
Date d'inscription : 03/02/2008
Re: Une explosion pas comme les autres
c'est bizarre et grave ...
minoucha- Professeur
- Nombre de messages : 1818
Age : 41
Localisation : sousse
Date d'inscription : 27/09/2008
Re: Une explosion pas comme les autres
ca se passais lors d'une intervention primaire dans ma chere ville natale pres de notre maison fi houmetna;c'etais deux veilles femmes dans un hammam intoxiques on a du les sortir dehors fi wost eddar.on leur administrais de l'oxygene a forte doses on du apporter lobus de 15L puisque les deux de 5 L etais epuises .il se faisais tard et sombre le manometre de lobus doxygene etai embue je pouvais pas voir ce qu'il indiquais alors alors un temoins qui etais là s'avancais vers moi allume son briquet et le met juste devant le manometre j'ai eu chauuuuuuud tres chaud heureusement en etais dans un espace ouvert en plus j pas reagi vivement mais avec lenteur
El Niño- Admin
- Nombre de messages : 8427
Age : 56
Date d'inscription : 03/02/2008
Re: Une explosion pas comme les autres
oh la la!!!! satrik rabbi ninio. tu serais parti en miette avec obus de 15 litres
Re: Une explosion pas comme les autres
he oui heureusement que l'espace n'etais pas confine on l'a echappe belle
El Niño- Admin
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Age : 56
Date d'inscription : 03/02/2008
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